Le flexitarisme, également dénommé semi-végétarisme, désigne une pratique alimentaire basée sur les végétaux. Il autorise la consommation de la viande à titre occasionnel. La reconnaissance de ce terme avait eu lieu en 2003 par l’ADS aux Etats Unis, en 2018 par l’UD au Canada et en 2019 par l’ANIBV en France. En général, l’objectif est de pouvoir qualifier les personnes au régime végétarien qui mangent occasionnellement de la viande. Sur ce, il s’avère indispensable de comprendre au préalable l’avantage de cette consommation sur la viande Bio.
Principe du flexitarisme
La consommation des aliments carnivores se fait rarement lors d’un événement réalisé en famille. Puis, les flexitariens respectent la conformité aux normes sanitaires et environnementales. Par contre, ils s'opposent aux alimentaires et se montrent beaucoup plus souples par rapport aux tenants du végétarisme. En effet, ils préfèrent se montrer beaucoup plus accueillants, auprès de leurs amis. Ce qui constitue un bon savoir vivre.
Différence avec la notion de pescétarisme et pollotarisme
Il existe 3 différents termes à ne pas confondre avec le flexitarisme; à savoir : le pesco-végétarisme, le pesco-pollotarisme et le pollotarisme.
En effet, le pesco-végétarisme, également dénommé pescétarisme, désigne un régime alimentaire qui interdit la consommation de la viande animale comme celle des Cathares. Toutefois, les pescétaristes consomment de la chair à base de fruit de mer (tel que les crustacés, les mollusques aquatiques, les poissons et autres). Le pollotarisme ou pollo-végétarisme est un régime alimentaire végétarien mais qui autorise occasionnellement la consommation des viandes de volailles (comme le canard, la dinde, l’oie, la pintade, le poulet, etc.). Les pollotariens peuvent également manger des produits laitiers.
En revanche, les flexitariens sont des végétariens qui peuvent consommer de la viande sans distinction mais à titre conventionnel…
L’avantage de sa consommation sur la viande Bio
En premier lieu, il conserve sa qualité végétarienne et végétalienne. Le régime de flexitarisme limite souvent le risque de maladies cardiovasculaires, les diabètes, l’ostéoporose, les maladies liées aux acides uriques (gouttes, rhumatisme, etc.), le surpoids ou voire même l’hypercholestérolémie. En second lieu, la consommation excessive des produits carnivores produit des carences en nutriments (comme la vitamine C, la vitamine E, la vitamine K2 et le calcium), produit un manque de phytonutriment (comme le beta-carotène, la curcumine, la quercétine, le resvératrol, etc.). Toutefois, la consommation occasionnelle de la viande Bio limite les calories, facilite la perte du poids, constitue un régime alimentaire cétogène et modifie le microbiote intestinal.